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Transporteur funéraire – entre force et délicatesse

Par Aurélie Vasseur, créatrice de contenu

Nos transporteurs funéraires jouent un rôle clé au sein de notre entreprise. Lors d’un décès à domicile ou encore en résidence, ce sont les premières personnes que rencontre la famille. Ces hommes sont à la fois robustes et rassurants. Ils ont pour mission de prendre soin des défunts lors de leur transport, mais aussi de répondre aux questions des familles souvent désorientées par la perte de leur proche. Dans cet article, nous vous proposons d’aller à leur rencontre.


Force physique et force mentale

Il va de soit que le transport funéraire nécessite une bonne condition physique. Nos hommes de service sont amenés à soulever de lourdes charges plusieurs fois par jour. Il ne s’agit pas simplement de transporter des défunts, mais aussi des cercueils en bois ou en métal.

Leur précieux travail requière cependant une autre force, qui celle-ci, n’est pas donnée à tout le monde. En effet, leur force mentale est incomparable. En plus de faire face à la fatalité de la fin de vie quotidiennement, ils sont en mesure d’écouter et de réconforter les familles qui commencent à peine leur processus de deuil. Nos transporteurs funéraires font preuve d’une grande intelligence émotionnelle.

Une journée de transport

Le transporteur funéraire n’a pas de journée type. En équipe de deux, ils ont plusieurs missions.

- Se rendre sur le lieu de décès d’une personne. Cela varie chaque jour entre hôpital, CHSLD, résidence, domicile, …

- Assurer l’accompagnement du défunt jusqu’au laboratoire.

- Transporter le cercueil ou l’urne prêt pour une exposition, une inhumation ou une dispersion.

Nos 10 hommes d’exception

Michel – 33 ans de services

Petit, Michel habitait au-dessus d’un point de service Urgel Bourgie. Ses parents y travaillaient tous deux. Son père était chauffeur de limousine et porteur et sa mère était préposée à l’accueil.

Selon lui, Urgel Bourgie fait partie de l’histoire du funéraire au Québec. Il ressent une forte loyauté envers la famille Bourgie qu’il a d’ailleurs connu.

Sa passion, c’est aider les gens en deuil et prendre soin de leur être cher. Michel se sent tellement bien dans son rôle que pour lui, ce n’est pas un travail, mais plutôt un loisir.

Pierre B – 39 ans de services

Pierre a d’abord commencé chez Urgel Bourgie comme horticulteur. Il a occupé plusieurs postes notamment celui d’opérateur de pepine pendant 35 ans. Il est au transport depuis maintenant 3 ans.

Ce qui anime le plus Pierre, c’est d’être au service des familles et de pouvoir leur donner toute l’attention dont ils ont besoin pour apaiser leur deuil.

Pierre V – 38 ans de services

Lorsqu’il était jeune, Pierre a assisté à plusieurs funérailles. Son père connaissait des employés d’Urgel Bourgie, ce qui l’a amené à commencer à y travailler comme porteur. La compagnie lui semblait immense et il n’avait que peu de connaissances du funéraire à l’époque. Il se sent chanceux d’avoir pu apprendre le fonctionnement d’une entreprise funéraire et d’y grandir.

Ce que Pierre aime plus que tout, c’est rendre service aux familles, sympathiser avec eux et les rassurer. Il s’assurer de prendre soin des personnes présentes, de répondre à leurs questions afin qu’ils se sentent « entre de bonnes mains ».

Pierre a lui aussi connu la famille Bourgie qui lui a insufflé une valeur essentielle : le respect dans chaque geste.

Pierre sait que son métier n’a rien de facile ni gai en apparence, mais il est fier de jouer un rôle aussi important dans la société.

Pierre-André – 1 an de service

Il y a quelques années, Pierre-André ne se serait jamais imaginé travailler dans le funéraire. Il s’est pourtant laissé convaincre par son beau-père qui travaille lui aussi chez Urgel Bourgie et qui l’a aidé à s’adapter à ce nouveau domaine.

Pierre-André aime son environnement de travail et la présence sans faille de leur directrice Michelle. Il apprécie aussi rencontrer les familles car sent qu’il leur apporte quelque chose de positif malgré la tristesse.

Pour finir, Pierre-André nous confie qu’il ne faut pas se fier aux apparences, c’est un métier comme les autres et la société a besoin d’eux.

Serge – 25 ans de services

Après avoir fait carrière dans l’informatique, Serge s’est réorienté dans le transport funéraire. Il se sent plus libre et moins stressé.

Ce qui le rejoint le plus, ce sont les horaires flexibles et la liberté d’être à l’extérieur, sur la route.

Serge trouve qu’il a un beau métier qui reste tout de même facile la plupart du temps.

Edmard – 7 ans de services

Ancien enseignant dans son pays d’origine, Edmard s’est laissé convaincre par l’un de ses amis lui mentionnant qu’Urgel Bourgie embauchait de nouveaux employés. Il a commencé dans l’entreprise comme préposé aux activités, puis porteur, pour enfin devenir transporteur funéraire.

Edmard avoue qu’à son premier transport, il a eu quelques frissons, mais c’est vite passé. Il se sent à sa place, en tant que premier répondant, lorsqu’il s’agit de réconforter une famille et de partager leur peine.

Edmard confie qu’en Haiti, il y a des mythes sur la mort. Il nous assure que tout ce qu’on entend n’est rien de plus qu’un mythe, il a pu le vérifier lui-même.

Mike – 21 ans de services

C’est malheureusement le décès du père de Mike qui fut sa première expérience dans un salon funéraire pour un proche. À cette même période, l’entreprise pour laquelle il travaillait procédait à un licenciement de masse auquel il n’a pas échappé. Le positif dans tout ça, c’est qu’il a vu une annonce de porteur aux funérailles et qu’il a obtenu le poste chez Urgel Bourgie.

Mike se sent privilégié de voir l’arrière-scène, ce à quoi le monde extérieur n’a pas accès. Il aime aussi observer la différence d’apparence du défunt entre le moment où il arrive au laboratoire et celui de l’exposition où il a retrouvé toute sa sérénité grâce au travail de nos collègues thanatologues. Pour lui, c’est un travail unique que tout le monde ne fait pas, mais fait sa fierté personnelle.

Pascal – 23 ans de services

C’est une connaissance de Pascal qui lui a parlé de l’opportunité de travailler chez Urgel Bourgie. Il y aime l’ambiance, ses collègues et le fait que chaque journée est différente.

Selon lui, c’est un beau métier qui permet un contact humain et offre des défis au quotidien.

Robert – 33 ans de services

C’est grâce à une connaissance de sa mère que Robert a saisi l’opportunité de travailler pour Urgel Bourgie. Aujourd’hui son métier de transporteur funéraire le comble par sa flexibilité d’horaire, son besoin assouvi d’être à l’extérieur.

C’est un travail d’équipe très physique, mais qui nécessite de prendre le temps. Robert mentionne qu’il faut savoir parler aux gens et faire preuve d’une grande empathie.

Pasquale – 1 an de services

Magasinier pendant 37 ans, Pasquale a atteint l’âge de la retraite, mais se trouve trop jeune pour s’y arrêter. Ayant déjà fait affaire avec Urgel Bourgie, il a décidé d’y continuer sa carrière. Pour lui, c’est une entreprise de proximité dans laquelle il avait déjà beaucoup de connaissances.

Les points forts de son métier sont pour Pasquale l’équipe qui l’entoure, l’environnement familial et l’attachement d’Urgel Bourgie à la communauté italienne.

Le métier de transporteur funéraire en est un surprenant qui allie diverses compétences, à la fois physiques, intellectuelles et émotionnelles. Urgel Bourgie / Athos est fière d’être dotée d’une équipe aussi engagée et loyale.