Jacques B. Langevin
Le 12 novembre, à l'âge de 95 ans après une longue maladie, est décédé paisiblement et entouré des siens Lt-Col. Jacques B. Langevin, CM, KCLJ, CMLJ.
Outre son épouse bien-aimée, Monique Bousquet, qui a partagé sa vie pendant 63 ans, il laisse dans le deuil ses cinq enfants, Josée (Jean A .Elie), Denyse (Robert H. Shalhoub), Monique (E. Claude Molleur), Jacques P. (Paule Gauvin), Francine, ses petits-enfants qu’il affectionnait, Mark Shalhoub
( Lori McPhee), Patrick Molleur, Caroline et Annik Langevin, ses arrières-petites-filles, Emilie et Sarah Shalhoub . L’ont prédécédé, ses frères Pierre (Louise), Gérard (Françoise), Jean (Jacqueline), ses belles-sœurs et beaux-frères, Simone Bousquet, Denise B. Taschereau (feu Claude) et Jean Bousquet (Helen). Il laisse également de nombreux neveux et nièces, tout particulièrement Maurice (Diane) et Georges (Monique) Taschereau.
Lors de la déclaration de la Seconde Guerre, il a servi avec les Fusiliers Mont-Royal en Icelande et en Angleterre. Il fut rappelé à la demande de l’Armée, pour suivre le cours d’État- major au Collège Militaire Royal, Kingston . Par la suite, il occupa différents postes d’officier supérieur au sein de l’État-major Général au Québec. Il était Lieutenant Colonel Honoraire de son Régiment.
Au cours d’une carrière très réussie, il a été un haut dirigeant de Seagram, Miron et les Distilleries Corby. Il se retira à l’âge de 79 ans. Il s’est dévoué à titre d’administrateur de plusieurs organisations charitables et philanthropiques, dont l’Institut de Cardiologie de Montréal.
Nous garderons de lui le souvenir d’un homme aux valeurs et aux convictions profondes, du parfait « gentleman » au sourire si attachant. Grand sportif, il était un athlète naturel dont la condition physique était légendaire.
Les funérailles auront lieu samedi, 18 novembre à 11 heures en l’église St-Germain d’Outremont ( angle Côte Ste-Catherine et Vincent d’Indy) et de là au cimetière Notre-Dame-des-Neiges.
La famille désire remercier les préposées et les infirmiers(es) qui ont pris soin de lui pour leur dévouement inlassable.
Au lieu de fleurs, un don à la Fondation de l’Institut de Cardiologie de Montréal ou à la Société Canadienne de l’Arthrite serait apprécié.
Outre son épouse bien-aimée, Monique Bousquet, qui a partagé sa vie pendant 63 ans, il laisse dans le deuil ses cinq enfants, Josée (Jean A .Elie), Denyse (Robert H. Shalhoub), Monique (E. Claude Molleur), Jacques P. (Paule Gauvin), Francine, ses petits-enfants qu’il affectionnait, Mark Shalhoub
( Lori McPhee), Patrick Molleur, Caroline et Annik Langevin, ses arrières-petites-filles, Emilie et Sarah Shalhoub . L’ont prédécédé, ses frères Pierre (Louise), Gérard (Françoise), Jean (Jacqueline), ses belles-sœurs et beaux-frères, Simone Bousquet, Denise B. Taschereau (feu Claude) et Jean Bousquet (Helen). Il laisse également de nombreux neveux et nièces, tout particulièrement Maurice (Diane) et Georges (Monique) Taschereau.
Lors de la déclaration de la Seconde Guerre, il a servi avec les Fusiliers Mont-Royal en Icelande et en Angleterre. Il fut rappelé à la demande de l’Armée, pour suivre le cours d’État- major au Collège Militaire Royal, Kingston . Par la suite, il occupa différents postes d’officier supérieur au sein de l’État-major Général au Québec. Il était Lieutenant Colonel Honoraire de son Régiment.
Au cours d’une carrière très réussie, il a été un haut dirigeant de Seagram, Miron et les Distilleries Corby. Il se retira à l’âge de 79 ans. Il s’est dévoué à titre d’administrateur de plusieurs organisations charitables et philanthropiques, dont l’Institut de Cardiologie de Montréal.
Nous garderons de lui le souvenir d’un homme aux valeurs et aux convictions profondes, du parfait « gentleman » au sourire si attachant. Grand sportif, il était un athlète naturel dont la condition physique était légendaire.
Les funérailles auront lieu samedi, 18 novembre à 11 heures en l’église St-Germain d’Outremont ( angle Côte Ste-Catherine et Vincent d’Indy) et de là au cimetière Notre-Dame-des-Neiges.
La famille désire remercier les préposées et les infirmiers(es) qui ont pris soin de lui pour leur dévouement inlassable.
Au lieu de fleurs, un don à la Fondation de l’Institut de Cardiologie de Montréal ou à la Société Canadienne de l’Arthrite serait apprécié.